Le scénariste de « De Cape et de Crocs » n’aura décidément pas fini de nous régaler, de sagesse et d’humour…
Dans la série des « Sept« , lancée par Delcourt, Alain Ayrolles nous convie à redécouvrir les sept péchés capitaux étrangement mis en œuvre à travers sept moines irlandais expulsés de leur monastère pour être envoyés convertir des vikings sanguinaires.
Cet album est un régal de burlesque avec des dialogues bien ciselés et un dessin qui sait soigner l’aspect « drame historique ».
L’album idéal à lire et à offrir en ce temps de carême et de conversion ! Qui, déjà, a dit que « Dieu écrit droit avec des lignes courbes » ?
7 Missionnaires, (S : Alain Ayrolles, D : Luigi Critone), Delcourt, mars 2008, 56 pages
Pour acheter ce tome sur Amazon, cliquez ici.
Étiquettes : Action, Alain Ayrolles, aventure, évangélisation, burlesque, Delcourt, Histoire, humour, Irlande, Luigi Critone, mission, moine, péchés, sept, vikings, violence
12 mars 2008 à 11:28 |
J’ai été assez déçu du premier tome de la série des 7 avec le complot contre Hitler. Le scénario aurait pu être très intéressant mais je pense qu’un tome était trop court pour faire passer toute la complexité des différents personnages.
A-t-on le même sentiment avec ce tome: une bonne idée qui aurait nécessité plus d’un tome?
12 mars 2008 à 07:21 |
Pour répondre à farff je trouve que le format en un volume accompagne bien ici le retournement de situation qui s’opère chez les vikings à cause de la présence des moines. Je ne pense pas que le scénariste aurait pu tenir deux volumes sur ce « clin d’oeil »… Mais il est vrai qu’ici ces sept moines n’ont pas la profondeur de personnages « complexes ». Ils sont chacun l’évocation assez floue d’un des sept péchés capitaux
13 mars 2008 à 09:53 |
Et que pensez-vous du tome « les 7 psychopathes »?
13 mars 2008 à 08:17 |
Pour ma part j’ai bien aimé l’idée de dérouter les plans en prenant des gens qui ont chacun leur « délire » et leur « cohérence »… mais il est vrai que ces personages ne sont pas creusés. On reste à la surface et on passe un bon mment comme dans un film du genre « les 12 salopards ».
L’album a la durée et la « légèreté » d’une pirouette, sans plus…
Cf. https://bdsnews.wordpress.com/2008/02/17/7-psychopathes/